vendredi 4 février 2011

La fin des jeunes verts !! Bienvenue aux Jeunes Ecologistes

Les 29 et 30 janvier derniers a eu lieu l’assemblée générale des jeunes verts. Les jeunes militants ont afflué de toute la France vers la mairie du 2ème arrondissement de Paris, pour participer à la transformation de notre mouvement. Tout comme nos ainés (Europe écologie- les verts) nous avons changé de nom, de logo et nous avons eu droit à un site internet tout neuf !! Nous sommes heureux de vous annoncer que nous nous appelons désormais LES JEUNES ECOLOGISTES
Ce week-end fut riche en débat, pas seulement sur le logo et nos statuts mais aussi sur des motions qui nous tiennent à cœur.
Alors pour continuer à nous suivre c'est par ici : http://www.jeunes-ecologistes.org/essonne

samedi 20 novembre 2010

Les Jeunes Verts à la présentation du programme de la liste Corbeil-Essonnes Ensemble

Vendredi soir à la bourse du travail de Corbeil, Bruno Piriou, tête de liste aux prochaines élections municipales, a présenté dans les grandes lignes le programme de sa (espérons le!) future équipe municipale. Soutenu par Francis Chouat (vice-président du conseil général) qui a fait un discours d'introduction, le représentant de toutes les forces de gauche rassemblées (Europe Ecologie-Les Verts, PS, PC, PG, LO, PUR) a présenté le visage du nouveau Corbeil-Essonnes. Le public a ensuite pu s'exprimer, en abordant notamment la question de la culture, pas assez évoqué selon certain. 
 
Le mot d'ordre pour la suite : maintenir à tous prix la mobilisation jusqu'au premier tour !

Le compte à rebours est donc lancé. Changer d'ère à Corbeil c'est possible, rendez-vous dans un peu plus de 15 jours...

jeudi 18 novembre 2010

L’indépendance de la presse ? Un modèle économique en crise

L’Université Populaire Seine Essonne (UPSE) a invité ce mercredi 17 novembre à l’Espace Carnot des journalistes pour débattre de l’indépendance de la presse écrite aujourd’hui en France. Guillaume Duval, rédacteur en chef du magazine Alternatives Economiques, David Fontaine, journaliste au Canard Enchaîné et Timothée Boutry, journaliste au Parisien et président de la Société Des Journalistes du Parisien ont parlé de leur propre expérience autour d’un débat animé par Graziella Riou de boocan.com.


La presse, en particulier en France traverse une crise profonde qui touche à la viabilité économique du modèle actuel du métier de journalisme au sein d’un journal ou magazine payant. La montée en puissance de moyens de communication désormais incontournables a suivi de près l’explosion de l’internet. Plus que jamais l’information donne dans l’instantané, et les blogs de particuliers sont autant de micro-médias à disposition de tous.
Aussi le thème du débat va surtout porter sur l’indépendance économique de la presse qui est le préalable à une presse indépendante dans son contenu et non-soumise à la censure d’un riche mécène.
En partant de la gauche: Guillaume Duval (Alternatives Economiques), 
Timothée Boutry (Le Parisien), David Fontaine (Canard Enchainé) et Graziella Riou (boocan.com)

Trois invités, trois journaux et donc, trois modes d’organisation différents.

Le mensuel Alternatives Economiques (qui fête cette année ses trente ans) a été crée -comme le rappelle Guillaume Duval- afin de faire « un journal qui explique la réalité économique, et y apporter des réponses morales, sociales. » D’où le titre choisi, par opposition au slogan de Thatcher : « there is no alternative. » Le magazine garantit son indépendance en fonctionnant en grande partie sur l’abonnement, ainsi l’abonné « paye à l’avance pour obtenir de l’information ». Le travail d’information du journal est donc financé par ce capital. Son statut de coopérative permet aussi à chaque salarié d’être associé aux décisions du journal selon le principe d’une personne, une voix. En revanche il est plus difficile de mobiliser de nouveaux moyens financiers puisqu’une personne souhaitant investir ne se verrait pas accorder plus de parts sociales dans le journal. Ce mode d’organisation le rend de plus assez lourd à manœuvrer et donc moins réactif à une situation d’urgence qu’un journal n’ayant qu’un ou deux grands actionnaires.

Le modèle économique du Canard Enchaîné est lui inchangé depuis sa création pendant la guerre de 14-18. Pour David Fontaine il s’agissait alors de « démystifier le bourrage de crâne par la satyre et la caricature. » Le journal a trouvé son équilibre entre la satyre et d’un autre côté des articles extrêmement sérieux. Le Canard fonctionne selon un système particulier : des actions sont octroyées à titre honorifiques au salarié au bout de quinze ans d’ancienneté. Ces actions sont incessibles et reviennent au journal au départ -ou à la mort- dudit salarié. Près de la moitié des journalistes a des parts aujourd’hui dans le Canard. Ce verrouillage très efficace garantit son indépendance, laquelle est assurée aussi par une santé économique insolente, avec plus de sept millions d’euros de bénéfices en 2009 et un matelas financier de plus de 100 millions d’euros. On comprend dès lors pourquoi le Canard Enchaîné est à raison l’un des journaux les plus réputé –et redouté- pour sa critique du pouvoir et la révélation d’affaires politiques.

Le  Parisien reflète plus la situation des autres quotidiens d’information, puisqu’il est la propriété du groupe Amaury (L’Equipe et organisateur du Tour de France entre autres). Il a été récemment lui-même sujet d’articles nombreux et inquiets de confrères lors de sa mise en vente, laquelle a finalement été annulée. Entretemps de nombreux noms de repreneurs ont circulé dont celui de Serge Dassault, sénateur, dirigeant du groupe éponyme et actionnaire du Figaro et du Républicain de l’Essonne. Timothée Boutry raconte cette période d’incertitude et de grandes discussions dans les rédactions (8 en tout), notamment autour de la raison de cette vente. Alors que Madame Amaury « intervient relativement peu dans la rédaction », M. Dassault a montré dans les journaux qu’il détient « qu’il était un actionnaire interventionniste. » Timothée Boutry rappelle son attachement à un Parisien « non-marqué politiquement », marque de fabrique qui lui a permis jusqu’à récemment d’afficher une santé financière meilleure que nombre de ses confrères.


Ces trois témoignages amènent à plusieurs constats.

Pour Guillaume Duval, la presse française souffre depuis ses origines de sa faible diffusion par comparaison avec ses voisins européens. En raison de coûts fixes élevés, sa marge de manœuvre financière est d’autant plus réduite que son lectorat est étroit et à tendance à se réduire. Ce qui nous amène à cette situation où les gens qui cherchent à investir dans la presse d’information française sont soit des personnes à la recherche d’une « danseuse », d’une activité divertissante et gratifiante intellectuellement où ils peuvent se permettre de perdre de l’argent, voire beaucoup.  On lance alors le nom du propriétaire du Nouvel Observateur. D’autres en revanche vont chercher à servir leurs intérêts, satisfaire un égo, faire pression sur les politiques. Les noms d’Arnault (LVMH) et Dassault sont naturellement évoqués. David Fontaine cite d’ailleurs une phrase de Robert Hersanlt : «l’indépendance de la presse commence et s’arrête au tiroir-caisse. »
La presse doit faire face à deux problématiques liées, les gratuits (20 minutes, direct-matin et soir…) et la viabilité économique du journal sur internet. Les journaux gratuits sont entièrement financés par la publicité. Surgit alors la question du formatage des articles pour plaire à tel annonceur ou le non-traitement de sujets dérangeants pour de grands acheteurs d’espaces publicitaires. On pense aux banques, aux industries lourdes… De plus, comme le prouvent les difficultés du groupe Metro, ce modèle économique montre déjà ses limites. Pour faire face, de nombreux journaux se sont lancés presque à  corps perdu dans l’internet. Quand Graziella Riou demande à David Fontaine pourquoi le Canard « ne barbote pas sur internet », il lui répond que tant que les gens « ne s’abonneront pas en masse sur le net, le Canard ne lancera pas de site. »

La presse d’information française est donc fragilisée aujourd’hui, au point que des institutions comme le Monde, sans parler de l’Humanité ou Libération sont contraintes de faire entrer le loup dans la bergerie. Ces injections d’argent apparaissent pourtant comme une fuite en avant, il s’agit plus d’une épée de Damoclès que d’une bouffée d’oxygène. Trop de journaux se maintiennent grâce aux subventions où à l’intervention d’un mécène qui se dit toujours désintéressé. De nouveaux venus comme Mediapart ou Rue89 apportent peut-être un début de réponse. Le Canard Enchaîné s’en tient pour l’instant au seul papier, ce qu’il semble être le seul à pouvoir se permettre. Mais pour les autres ?

jeudi 11 novembre 2010

Une jeune verte sur la liste Corbeil-Essonnes Ensemble

C'est mardi soir dernier que Bruno Piriou a présenté sa liste de rassemblement de la gauche pour les élections municipales. 

Sandrine Kinkela, digne représentante des Jeunes Verts de l'Essonne sera n°22 sur la liste en position éligible. Elle est accompagnée sur cette liste par 7 écologistes de Corbeil-Essonnes Ecologie dont 6 sont en position éligible.   

 http://corbeilessonnesecologie.org/


Le Parisien édition du 10 novembre 2010 : 
Sandrine aux cotés de Jacques Picard, conseiller régional Vert, à la bourse du travail de Corbeil




mercredi 10 novembre 2010

Notre première action sur le terrain : le jeu du panier bio !




Description de notre action, des enjeux locaux en question. Et pourquoi un jeu ?

Ce dimanche 7 novembre 2010 nous avons mené notre première action de Jeunes Verts 91. C’est dès 9 heures du matin et sous le crachin que nous nous sommes installés au marché central de Corbeil-Essonnes. Un mois avant le premier tour des élections municipales partielles, nous avons opté pour un moyen simple et ludique : inviter les gens à discuter autour d’un petit thé -ou café- chaud. Puis s’ils sont intéressés, leur proposer de participer à notre petit jeu :    
LE JEU DU PANIER BIO

Installation du stand à un endroit stratégique
Pour ceux qui ne suivent pas de près l’actualité politique essonnienne, sachez qu’il s’agit de la troisième fois en trois ans que les Corbeil-Essonnois(es) sont poliment invités à élire leur maire. Les deux précédentes ont été annulés par la Justice pour des raisons sur lesquelles nous reviendrons  prochainement dans un article austère et au goût de démocratie en danger.

Installation d’un stand, avec grande pancarte figurant le panier bio, une urne à nos couleurs et les bulletins de vote qui vont avec. Notre stratégie ? Faire simple, efficace et surtout pas prise de tête.
Au cœur de l'action
Petit exemple de conversation :

« -Bonjour ! Un petit thé chaud madame ?
-Ma foi vouiii c’est qui fait pas chaud !
-On organise un petit jeu très simple, ça vous intéresse ?
Tout à son thé bien chaud, madame acquiesce et opine du chef…
-Alors voilà : vous n’avez qu’à remplir ce petit bulletin avec vos coordonnées où vous indiquerez votre estimation de la dette par habitant de la ville de Corbeil-Essonnes. Ensuite nous procéderons au dépouillement sur les coups de midi et la personne dont l’estimation aura été la plus proche du montant réel se verra remettre ce magnifique panier bio –ici on montre ledit panier bien mis en évidence- . On précise qu’il s’agit du chiffre de 2010.
-Ma foi ça doit être beaucoup nan ? J’ai entendu dire que c’est pas folichon tout ça, mais vous savez moi et les chiffres, c’est tout mélangé dans ma tête !
-Allez ! Parce que c’est vous madame, on vous donne un indice : c’est un nombre à quatre chiffres.
Madame réfléchit…
-Oh c’est difficile à dire, je vais me tromper vous savez, je vais écrire des bêtises !
-On ne sait jamais madame, sur un coup de chance. Allez-y, et puis sachez que vous vivez dans la treizième commune la plus endettée de France. 13 ça porte bonheur !
Madame inscrit son estimation, et glisse son bulletin dans l’urne…
-A voté ! Merci de votre temps madame ! Encore un peu de thé ? Peut-être serez-vous bientôt l’heureuse propriétaire de ce panier bio, sinon nous vous enverrons par courriel le chiffre exact. En vous souhaitant un bon dimanche ! 
-En tout cas c’est très bien de voir de jolis jeunes gens comme vous s’impliquer comme ça. Moi vous savez dans le temps etc.


Cela résume assez bien notre matinée. De nombreuses personnes intriguées par notre stand, aucune réflexion ou avis négatifs, et pas mal d’encouragements. Avec cinq membres des JV 91 et le renfort bienvenu de deux amies des JV Paris, notre stand a fait sérieusement chuter la moyenne d’âge des militants divers présents ce jour-là. Vous ne serez pas étonnés d’apprendre que nous n’avons même pas eu droit à un regard condescendant de la part du candidat de droite présent au même moment bien que nous ayons essayé -en vain- de le toucher par un envoi massif d’ondes pacifiques.
Le renfort de notre mascotte vedette n'était pas de trop

Au final, le bilan est très positif.
Résumons : en plus des personnes avec qui nous avons discuté et partagé une boisson chaude, nous avons comptabilisé 30 votes. Ce qui peut paraître peu mais représente tout de même l’effectif d’une classe de collège en ZEP. Notre stand, notre jeu du panier bio et notre groupe des JV 91 ont suscité de l’indifférence, de l’amusement, de l’intérêt et même des encouragements.

Les résultats : quant à la dette par habitant de Corbeil-Essonnes, elle s’élevait en 2010 à 2280 euros. Ce qui correspond grosso-modo à deux smics ou encore à 114 paniers bio, ce qui vous donne la valeur du lot mis en jeu.
Et enfin nous aurons fait un heureux puisqu’un habitant de Corbeil-Essonnes s’est vu remettre le fameux panier avec une estimation diaboliquement proche de 2187 euros.

A bientôt pour une prochaine action !!!

samedi 6 novembre 2010

Les Jeunes Verts 91 : le Parisien en parle !


Edition du samedi 6 novembre 2010


Le philosophe Edgar Morin était à Evry ce jeudi 4 novembre 2010


La salle du théâtre de l’agora était comble ce jeudi pour accueillir deux personnalités majeures de la vie française : Edgar Morin (résistant, sociologue et philosophe) et Patrick Viveret (philosophe).

A l’initiative de l’association SoliCités (www.solicités.org) qui promeut le développement durable en Essonne et de la mairie d’Evry les deux protagonistes ont échangé sur la situation du monde actuel développant l’idée que nous assistons à la fin d’un monde et non pas à la fin du monde.

Revenant sur les modalités de la crise extrême que nous vivons notamment par ses traductions sociales et environnementales, les deux protagonistes ont dénoncé notre système économique qui incite aux profits déchainés et illimités.

 Cependant malgré ces réalités difficiles qui tendent à se concrétiser dans des catastrophes à répétition Edgar Morin et Patrick Viveret ont une vision optimiste du cours de l’histoire. Un espoir qui selon eux réside dans le fait que nous nous situons à un moment clé entre un monde ancien qui tarde à mourir et un monde nouveau qui n’arrive pas à naitre. Comment alors changer de voie ? L’apparition d’un monde nouveau se définira par ce que l’humanité fera de cette fin d’un monde et de ce qu’elle mettra en place. Cet espoir réside également dans la capacité des personnes à s’affranchir de leurs pulsions individuelles pour créer des dynamiques collectives. Posant ainsi la question de « qu’est ce qui compte vraiment pour nous ? ». Les prémisses de ce nouveau monde se révèlent à travers la conquête de la solidarité au niveau local où le tissu social se recrée à la recherche d’un « bien vivre ».
Edgar Morin et Patrick Viveret ajoutent que ce nouveau monde nécessite des réformes structurelles mais surtout un renouveau culturel et éthique dans lequel les acteurs changent leur posture de vie. Ceci passe par exemple par de nouvelles façons de communiquer : comprendre son interlocuteur, sa position, ses enjeux, ses intérêts pour mieux dialoguer et refuser ainsi d’entrer dans un rapport où n’existe qu’une seule vérité.

C’est rempli d’espoir que la salle a applaudit vigoureusement les deux personnalités de la soirée, tout en attendant une prochaine rencontre de cette qualité.

« L’avenir de tous est en chacun de nous » SoliCités

mardi 19 octobre 2010

Bienvenue sur notre site !

C’est avec bonheur et la chaude actualité aidant, que nous déclarons ouvert le blog (pour les allergiques à l’anglais nous acceptons le terme joliment démodé de « joueb ») du groupe des jeunes verts de l’Essonne !
S’il est rattaché à celui des jeunes verts de Paris pour des raisons administratives et logistiques, notre -pour l’instant- modeste groupe vise avant tout à agir (beaucoup) et à réfléchir (mais pas trop hein!) sur notre département, son avenir, les problématiques mais aussi les richesses propres à son histoire. Tout cela avec bien sûr notre sensibilité écologique et pourquoi pas l’impertinence qu’on attache à la jeunesse.

Donc si vous êtes jeune, que vous n’avez pas forcément les cheveux longs, une addiction au cabanis et une éolienne dans votre jardin, mais que la politique en mode « langue-de-bois » et les costards-cravate ça suffit, votre vie a enfin trouvé un but.
Ah au fait,  nous ne demandons ni péage ni taxe carbone, du moins pas au début, mais simplement l’envie d’agir pour l’Essonne, d’aller à la rencontre de ses habitants et d’avoir en soi la fibre verte, sinon prête à éclore.

Cet acte de naissance a lieu dans les circonstances particulières que l’on sait (ou pas), à savoir la tenue de nouvelles –jamais deux sans trois-  élections municipales à Corbeil-Essonnes. La dernière en date a au moins permis la constitution d’un réseau convivial de sympathisants et militants écologistes qui offre désormais une grande visibilité à l’écologie politique à Corbeil-Essonnes.
C’est donc un peu naturellement que notre jeune et petit groupe est pour l’instant localisé sur Corbeil-Essonnes et l’agglomération d’Evry. Nous ne sommes que les nouvelles pousses d’un champ que nous espérons autrement fertile. Oui, histoire oblige les expressions inspirées de la botanique n’ont pas de secrets pour nous.
Nous ne demandons qu’à accueillir des jeunes de tout le département, avec des envies et des projets pour l’Essonne mais aussi pour leur ville, leur quartier, ou organiser une action de sensibilisation à l’Ecologie.

N’hésitez pas, ou sinon faites-vous un peu violence en montrant que les jeunes ne descendent pas d’une créature invertébrée, contactez-nous, y compris le dimanche matin tôt si vous avez oublié de faire la fête la veille.

Alors pour nous contacter et s’informer sur notre groupe, si vous avez des idées d’action, de réflexion ou si un événement mérite selon notre pleine et entière attention, un seul site, une seule adresse : jeunesverts91.blogspot.com
Et pour nous contacter :jeunesverts91@gmail.com

P.S. : oui, en fait ce sont DEUX adresses, comme vous l’aurez remarqué. Ce qui fera mentir les vieilles langues disant que la capacité de concentration du jeune Français moyen ne dépasse pas deux minutes. En fait nous sommes tout-à-fait capables de visionner d’une traite un épisode de How I Met Your Mother ou le Six Minutes de M6. Certains dans notre groupe ont même participé à des Plus-Belle-la-Vie-Partys, bien qu’ils ne l’avoueront jamais. Pas même sous la torture d’une intervention télévisée en direct de notre Président de la République. Ce qui montre notre force de caractère.

Quant-à une projection d’un passionnant documentaire sur l’élevage bio des écrevisses à pinces bleues en Sologne, nous pouvons vous affirmer qu’elle n’est pas à l’ordre du jour, notre but étant d’attirer les gens et non de les faire fuir. Un sujet intéressant tout de même…Bref.


En espérant être plus nombreux grâce à vous pour pouvoir faire « vivre » ce site,
Vertamicalement, le groupe des Jeunes Verts 91.